Transformers: Le Commencement, ou comment ressusciter une licence (Critique)
La licence Transformers est de retour au cinéma, un an depuis le dernier film en live-action et pour la première fois en animation depuis l’unique film d’animation de 1986.
La licence Transformers est de retour au cinéma, un an depuis le dernier film en live-action et pour la première fois en animation depuis l’unique film d’animation de 1986.
Basant son intrigue sur une agression homophobe dans un village roumain, ce film ne repousse pas ses limites, se contentant trop souvent du nécessaire, et laisse frustré.
Gilles Lellouche est de retour en salle, avec L’amour ouf, porté par François Civil, Adèle Exarchopoulos et Mallory Wanecque.
L’automne peut être déprimant, mais il l’est moins après avoir vu ce bijou d’animation, abordant des thèmes identitaires à travers une esthétique sublime, venez découvrir le nouveau bijou du studio Dreamworks Animation.
Retour sur le projet de rêve de Francis Ford Coppola, que le réalisateur mijotait depuis plus de 30 ans.
Hollywood rechute une fois de plus et propose un nouveau remake bâclé et plutôt faible, ce qui a pour effet de minimiser considérablement l’importance de l’œuvre originale dont il s’inspire.