Cette année le comité se compose de 6 membres :
Président :
Guillaume Gasche (1ère année de Master)
Guillaume, c’est un grand gaillard qui a les nerfs solides car dans le passé, il a fait ses preuves dans des restaurants étoilés et y a croisé pas mal de nos conseillers fédéraux.
Aujourd’hui, la géologie est son nouvel objectif et rien ne lui fait peur. La grimpe n’est pour lui qu’une formalité. Il a d’ailleurs su prouver que paroi rocheuse et hôtel abandonné, c’est pareil. Plus sérieusement, il est aussi très impliqué dans le renseignement et l’intégration de la nouvelle génération de géologues.
Secrétaire :
Thomas Biselx (3ème année de Bachelor)
Habitant de Sion descendant aussi d’ancêtres Jurassiens, on peut dire que Thomas a trouvé le juste milieu en venant étudier sur la molasse Lausannoise. En plus des cailloux, il est passionné de botanique et ne craint pas de subir des semestres a 36 crédits pour satisfaire sa soif de savoir. Comme vous l’avez compris c’est un solide (comme le quartz) travailleur, parmi les rares à ce faire chasser à 11h du soir du Geopolis, 1h30 après la fermeture officielle. En regardant ses affaires de travail, on devine assez facilement son côté « militant politique sur les bords ». Cependant, aucune prise de tête avec lui, son calme sans faille lui permet de toujours se retourner sur le ton de l’humour. Son attirance pour la nature et la montagne fait, sans aucun doute, de lui un membre de Pangea réellement actif et passionné.
Trésoriers :
Léo Mayoraz (3ème année de Bachelor)
Comme les plagioclases Léo possède deux pôles : le Valais et le Jura. Aujourd’hui domicilié sur les calcaires jurassiques de Moutier (rappelons le, ville JURASSIENNE), Léo possède toutes les qualités du géologue… toujours partant, toujours motivé, une tendance à rester de marbre en toutes situations et, bien évidemment, une petite touche de mauvaise foi (nécessaire à tout géologue qui se respecte) … Cependant, derrière cette façade se cache un esprit d’une rare lucidité. Il ne fera qu’une bouchée d’un exercice sur MATLAB. D’ailleurs, on vient de mettre le doigt sur l’un de ses dadas : la MODELISATION… C’est donc tout naturellement qu’il décida de faire une pierre deux coups en ralliant deux de ses passions dans ses études : les cailloux et la modélisation informatique…
Une autre face (cristalline), non des moins importante, de ce personnage est le sport : si vous ne le trouvez pas derrière un microscope, ou en quête de fossiles, il sera très probablement entrain de frapper une balle sur un doux tapis de sable silicaté, ou de s’entrainer sur des tatamis…
Florian Decrooq (3ème année de Bachelor)
Hardi cocolet ! » Respirant la bonne humeur, ce très cher Florien nous vient tout droit du petit patelin de Gryon dans les Préalpes vaudoises. Passionné de planétologie, c’est tout naturellement qu’il choisit d’allier sa mauvaise foi et sa lubie des roches pour se tourner vers la géologie, en vue de poursuivre des études en géophysique à l’ETH !
Outre son aptitude hors norme à éroder les affleurements, dans l’optique de dénicher de belles ammonites, il excelle également dans « l’art de tout faire différemment », poursuivant ainsi son inlassable quête du Graal … euhhh … d’originalité.
Quand l’hiver s’abat sur les élégantes montagnes villardoues, son marteau au coin du feu, il troque ses fidèles Scarpa pour chausser lattes et bâtons, afin de dévaler les pentes de l’Ultra helvétique. Doté d’une technique aussi parfaite qu’un clivage de Biotite, il est membre à part entière de l’école de ski de Villars-sur-Ollon, au sein duquel il prodigue des cours qualitatives dans l’art de la glisse. Une fois l’or blanc disparu, entre deux codes MATLAB, celui qu’on surnomme le Tiger Woods de la géologie, s’adonne au martelage non pas de cailloux (du moins pas uniquement), mais bel et bien à celui de balles de golf, qu’il propulse lestement dans l’air pur villardou… le tout avec vue sur le Mont-Blanc.
Culinairement parlant, le « Florienantiveganivore », aussi connu sous le nom de « Carnidecroocqnivore » voue un véritable culte à la bonne chair, comme en témoigne l’une de ses citations favorites : « le gras c’est la vie ».
Chargé de communication des réseaux sociaux :
Luca Peruzzi (2ème année de Bachelor)
Moi, si je devais résumer ma vie, aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d´abord des rencontres, des gens qui m’ont tendu la main peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée. Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face, je dirais le miroir qui vous aide à avancer.
Alors ce n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire j’ai pu, et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie, je ne suis qu’amour. Et finalement quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent : « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? » eh bien je leur réponds très simplement, je leur dis : « C’est ce goût de l´amour », ce goût donc, qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi.
Membre étudiant :
Felipe Santos Antunes (3ème années Bachelor)
Mais qui est Filipe ? C’est une question que lui-même aurait du mal à répondre. Mais sachez une chose, ce Lausannois à l’agenda de ministre, fameux créateur du jeu cailloux ou pas cailloux, sera toujours prêt à défendre sa théorie selon laquelle les roches, en réalité, sont des extraterrestres déguisés en pierres qui attendent patiemment que les géologues découvrent leur plan de conquête… ou peut-être a-t-il simplement trop passé de temps à parler aux cailloux.
Sa curiosité légendaire l’a conduit vers un parcours professionnel varié, pour finalement mettre pied à terre dans le domaine de la géologie. Toutefois, avec la tête dans les étoiles, il se peut que vous le croisiez un jour en train d’organiser des expéditions pour explorer des formations rocheuses sur des planètes lointaines, ou tout simplement endormi sur les canapés des salles du Géopolis, bavant .. le marteau à la main.